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9 mars 2017 4 09 /03 /mars /2017 14:35

 

Une seule victoire probante, sur une équipe aux stars pour certaines vieillissantes, avait suffi en une soirée à propulser le PSG au rang des grands favoris pour remporter le Graal, juste à côté du Bayern, et même pour beaucoup devant le Real, l’Atletico et Dortmud. Une seule victoire. Tellement français.

Une seule soirée où le Barça, plombé par un milieu de terrain totalement inexistant, avait été éventré pendant une heure et demie par 11 parisiens certes magnifiques, plein de fougue, mais aussi de réussite (on a vite oublié l’occasion majuscule gâchée par le fantomatique Andre Gomes à 1-0 ou, à un degré moindre, le poteau d’Umtiti en fin de match). Oui le PSG avait marché sur le Barça ce soir-là, mais de là à le propulser comme un colosse après une seule soirée… Tellement français.

A les entendre, ces encyclopédies vivantes des télévisions, radios et journaux spécialisés, Veratti, Rabiot et Matuidi constituaient tout à coup le meilleur milieu de terrain d’Europe. Iniesta et Busquets étaient finis. Quant à l’absence de Rakitic, pas un mot. Aucun recul, aucune hauteur de vue. La démesure, toujours. Tellement français.

Et la mémoire, on en fait quoi ? Souvenez-vous, trois mois plus tôt, la deuxième mi-temps de Lyon-PSG ou, pire une semaine plus tard, le Montpellier-PSG (3-0). Dépassé au milieu de terrain, chancelant en défense, un colosse, ça ? On oublie, on s’enflamme et… on s’écroule, dans un éternel refrain de « plus dure est la chute ». Tellement français.

Tiens, ça me rappelle L’Amérique de Joe Dassin accompagnant le générique de Télé-Foot après une victoire française dans les éliminatoires de la coupe du monde 1994, juste avant France-Israël et France-Bulgarie. Là aussi, c’était fait, c’était plié. Et paf ! Kostadinooooov !...

La vérité, la seule vérité, c’est qu’en football, il n’y en a aucune. C’est ce qui fait son charme premier, sa magie, sa dramaturgie unique, son universalité. Surtout quand on entre dans un des deux temples où les dieux de ce sport s’amusent des certitudes et de la rationalité. Il flotte au Camp Nou (et à Anfield Road) un parfum que je n’ai retrouvé dans aucun autre des grands stades d’Europe. Celui des soirées inoubliables, des monstres sacrés, des exploits insensés. Cette magie, occultée par toute la France du foot, a saisi des parisiens envoutés peut-être, hypnotisés probablement, tétanisés sûrement. Par la peur de perdre, surtout, dans les moments qui comptent vraiment. Tellement français.

Mais il serait terriblement injuste de retirer aux barcelonais le dixième du quart du mérite de leur exploit. Iniesta est las ? Il a donné hier soir, une véritable leçon à Verrati. Car la clé du match, comme souvent, s’est trouvée dans l’entrejeu. Où le retour de Rakitic dans le 11 de départ a transfiguré le jeu du Barça, et où Rabiot et Matuidi ont à peu près tout mal fait. La défense du PSG, dont on a vite oublié la faiblesse au haut niveau européen et qui dilapide année après année les milliards qataris, ne peut faire illusion que par la présence rassurante de son milieu de terrain. Quand ce n’est pas le cas, ses insuffisances lui explosent à la figure, Thiago Silva en tête.

Cet oubli est l’erreur tragique d’Emery, qui avait choisi de dresser une forteresse afin de limiter le jeu court barcelonais dans la surface de vérité, là où ils excellent, là où ils marquent quasiment tous leurs buts. L’idée se tient, sauf qu’une fois de plus, elle repose sur la crainte, alors qu’il eut été tellement plus audacieux de s’appuyer sur ses forces. Ça aussi, c’est tellement la France du foot. Privilégier l’hypothèse du scénario-catastrophe et essayer de l’éviter, plutôt que de se projeter vers une victoire totale. Tellement français.

Lundi et mardi, j’ai souri en écoutant tant de pseudo-spécialistes railler l’optimisme catalan… « Ils font monter la sauce, c’est du marketing ! », pouvait-on entendre sur toutes les ondes ou presque. Imbéciles. Rassurons-nous, ce sont ceux-là, les mêmes qui, sans la moindre vergogne, vont se moquer dans les jours qui viennent des parisiens humiliés. Aucune capacité à l’auto-critique, aucun sens de la mesure, aucune culture, au fond, footballistique. Tellement français.

Parce que le championnat de France est d’une infinie faiblesse (mais pour le coup cette année pas d’une infinie tristesse, bien au contraire), parce qu’il peut à nouveau réaliser un formidable triplé dont seul Monaco peut le priver, le PSG peut rendre à sa fin de saison une dimension honorable. Il véhiculera pourtant à jamais l’image de celui qui s’est vu trop beau, un Icare dont les ailes, les jambes, les pieds et les têtes en cire ont fondu en 95 minutes.

 

Charelca

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19 octobre 2016 3 19 /10 /octobre /2016 14:12

Plus personne ne tombe dans le panneau et la France du foot s’en gausse presque, désormais. La rhétorique de Jean-Michel Aulas est usée, mais il y a quelque chose de touchant, pour tout amoureux de l’Olympique Lyonnais, à le voir encore pérorer, contre vents et marées, échecs et défaites.

Revêtant « son » bijou de stade (il est vrai une merveille) comme sa nouvelle armure, confortant un entraineur en qui en vérité il ne croit pas lui-même (il connait son faible potentiel depuis trop longtemps pour pouvoir nous faire croire le contraire), le vieux lion, roi d’un empire bâti à l’heure où le minitel ne connaissait pas les tweets, a choisi les médias hier soir (et L’Equipe en particulier, un des deux ennemis préférés de ses fabulations) pour appliquer sa stratégie immuable (et admirable, quelque part) depuis 30 ans : victimiser son club, déplacer le sujet principal en polémiquant sur un sujet annexe, afin d’éteindre le feu avant même qu’une fumée s’en élève.

Cette fois, ce ne pouvait être l’arbitre (il l’a d’ailleurs très rarement fait sur la scène européenne, et pour cause, le fossé séparant celle-ci des compétences de l’arbitrage français est juste abyssal), qui a compensé pour la soirée par deux décisions assez justes la différence de niveau entre deux équipes, deux entraineurs, deux clubs…







Résistant assez miraculeusement à une première mi-temps à sens unique (les 8 premières minutes furent terribles) les lyonnais auraient même pu mener après un pénalty, suite à un plaquage grossier de Bonucci ridiculeusement entamé sur Diakhaby un petit mètre devant l’arbitre.







Mais Lacazette, comme il y a un an à La Gantoise, a montré les limites de son mental dans les matchs qui comptent. On ne lui demandait pas une Panenka et ce n’était pas une finale de coupe du monde. Mais le seul enjeu d’un match de poule de ligue des champions suffit à changer ses jambes en coton.

Parce qu’il est fier, qu’il est incontestablement talentueux, il a cru qu’il garnirait son palmarès d’un but au meilleur gardien de l’histoire de son sport. Erreur. Encore trop tendre. Encore un peu juste, aussi, physiquement, après sa blessure. Comme souvent pour lui après un échec, il est sorti du match et sa deuxième mi-temps fut transparente. Cela ne l’empêchera pas de marquer cette saison 20 buts dans un championnat de seconde zone, mais on attend autre chose d’un joueur que son patron a refusé de céder malgré une offre de 45 millions d’euros…

Comme un symbole, ce sont d’ailleurs les deux autres joueurs lyonnais de niveau international (tous les autres en sont loin, voire très loin) qui ont cru, une fraction de seconde, s’amuser du Buffon. Erreur, re-erreur.

Un manque de réussite ? Qui peut croire ça ? Fekir exécute un bel enchainement, mais il tire droit devant lui, alors qu’il pouvait décaler Lacazette absolument seul sur sa droite. Encore trop tendre. A bout portant, Tolisso pique sa tête sur le gardien (la longueur des buts mesure 7,32 mètres). Toujours trop tendre.

Et à l’autre bout du terrain, Cuadrado, après avoir cassé les reins du bourrin placé face à lui, a envoyé un missile à ras d’un premier poteau abandonné bien naïvement par son gardien. Définitivement trop tendre.

Le contraste saisissant de la gestion respective de ces quatre actions (après tout la Juve a gâché également plusieurs occasions nettes, notamment en première mi-temps) ne saurait pourtant masquer celle dramatique d’une supériorité numérique durant plus d’une demi-heure par le très probable moins doué de tous les entraineurs de l’ère Aulas.

Accroché à son 3-5-2 (qui avec des joueurs comme Morel ressemble plus à un 5-3-2), maintenant sa confiance aveugle au pathétique duo N’Koulou et Yanga Mbiwa (le jeune Diakhaby est déjà presque plus fort que les deux réunis), Bruno Genesio aurait dû, dans la seconde qui a suivi le carton rouge brandi à l’encontre de Lemina, demander à Ghezzal d’accélérer son échauffement.

Il avait alors deux options : passer en 4-4-2 et sortir Yanga Mbiwa ou, au moins, maintenir son système en remplaçant Morel. Au lieu d’une seconde, il aura fallu 30 minutes à cette idée, non pas pour germer dans son cerveau (il y a évidemment immédiatement pensé) mais pour la faire éclore. Une fois que c’était trop tard, parce que tous les autres lyonnais étaient cuits, autant lessivés par des courses effrénées dans le vide en première mi-temps que foudroyés par le but éclair de la Juve 5 minutes plus tôt. Et encore, qui sait si sans ce but-là, le changement aurait été effectué ?…

Et de se remémorer la frilosité de Puel à Munich, en demi-finale aller de Ligue des champions, quand Ribery laissait le Bayern à 10 une mi-temps entière, visant le 0-0 alors que seul devait compter dans ces circonstances l’objectif de marquer un but à l’extérieur. Ou celle de Garde, permanente dans un coaching totalement pauvre durant 3 ans.

Aulas est un berger qui persiste à ne pas renoncer à l’idée que le chien qui doit l’aider à gérer son troupeau peut se contenter d’être dans l’ombre de son maitre même lorsqu’il veut s’imposer sur les plus belles prairies. C'est une erreur. Et il aura beau répéter à l’envi, comme hier soir, qu’il « progresse de match en match », qu’il est « très bon » (si si il l’a dit), personne ne croit qu’il parle là de son entraineur du moment.

Au fond, la défaite d’hier soir, au terme d’une belle bataille, résume tout de l’OL du moment : un président vieillissant, un entraineur français très limité et une jeunesse qui n’est dorée que dans un rayon domestique.

Le vieux lion s’est donc incliné devant la Vieille Dame et il y a peu de chances que celle-ci en fasse de même, chez elle, de l’autre côté des Alpes dans deux semaines. Il en sera alors déjà fini de la ligue des champions, dès le 4ème match. Comme l’an passé.

Le constat est brutal, et la perspective de remonter 10 points aux niçois dans un championnat minable pour revenir l’an prochain dans la cour des grands, n’a presque rien de véritablement excitant.

On attendra donc le printemps pour caresser l’espoir de vibrer avec quelques confrontations directes en Ligue Europa. Que ce sera long...

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5 juillet 2016 2 05 /07 /juillet /2016 15:34

Personne, je crois, n'a encore osé. C'est une évidence, pourtant: il y a en Griezmann un petit quelque chose de Cruyff. Dans son jeu, la vitesse, l’agilité technique, le réalisme devant le but. Dans son attitude, à le regarder du bas des tribunes, une élégance, une sensation, un vertige, parfois...

A quelques-uns, j'écrivais, au soir de l’annonce de la liste des 23 de Didier Deschamps pour l'Euro, que la seule chance pour les Bleus de réaliser le coup du chapeau domestique, comprenez trisser son sacre en compétition internationale organisée sur son sol (après 1984 et 1998), fut que l'un des préceptes du hollandais volant (« le principe du football est de marquer au moins un but de plus que l’adversaire, peu importe le nombre de buts qu'on encaisse ») ne soit pas que l'illusion d'un idéaliste, dans le football froid et ultra-prudent de notre époque. Que le poids d’une attaque enfin débarrassée des égos démesurés des uns (d’un, surtout, en fait) et enrichie de l’explosion en sélection de deux grands talents offensifs (Griezmann et Payet) compensent la fragilité rédhibitoire, dans les moments qui comptent vraiment, d’une défense médiocre où Evra, Sagna, Varane (avant Rami) et Koscielny offraient, comme seule garantie, précisément de n’en offrir aucune.

A 48 heures de défier notre vieil ennemi et, comme à chaque fois, de revoir, à chaque seconde de notre maigre temps libre d'ici-là, défiler devant nous la course folle de Marius, la joie extatique de Gigi et le regard désolé, aussi, du grand Max, je crois n’avoir pas beaucoup avancé…

Notre défense n’offre aucune certitude. Certes, Lloris et Koscielny ont pour l’instant rassuré. Mais contre qui ? Sagna et Rami ont été inconstants et Evra apporte une hallucinante régularité dans la médiocrité, rarement vue au niveau international. La compagne de Manu Amoros doit durant chaque match des Bleus passer son temps à lui poser un gant frais sur le front. Celle (télévisuelle) de Liza et transfuge de Canal Plus, dans une recherche de consensus mièvre et policé, n’aura pas à reprendre son binôme. On continuera donc à faire semblant avec Evra, parce que, c’est bien connu, il est le seul arrière gauche du pays.

C’est la seule erreur de Deschamps, son seul toc (mais tous les coachs en ont), en priant que l’expérience de ce leader de bus (pardon de vestiaire… ah ce bout de sparadrap qui reste toujours accroché…) lui permette d’élever, der Tag T, son niveau. Car le JC du foot disait aussi : «Le football est en jeu fait d'erreurs. Celui qui fait le moins d'erreur l'emporte.»

A l’inverse, et comme plus qu’un frémissement les matchs amicaux ne l’avait suggéré, l’équipe de France a retrouvé un duo offensif magique. Payet-Griezmann, c’est de l’or en barre. Un bonheur n’arrivant jamais seul, Giroud, avec ces deux-là, n’est plus tout à fait le même. Suffisant pour terrasser la terrrrible Mannschaft ? Bien sûr que oui. Il faudra juste que Pogba (et Matuidi) ne fassent pas perdre l’équilibre de l’équipe dans leur(s) course(s) folle(s) vers l’avant, aux sens propre et figuré, pour apporter le surnombre. Ah ce débordement de Blaise Tigana au Vélodrome... Ah moins que ce ne soit Jean Matuidi ? Oh je ne sais plus, je suis perdu…

L’Histoire du foot ne se moque pas toujours des destins. Celui de cette équipe ressemble quand même à quelque chose d’improbable. J'ai comme l'impression qu'attachés à la destinée viscéralement bleue roi de Didier Deschamps, nos Bleus chantants seront aussi volants, jeudi soir. Sous l’œil bienveillant de qui vous savez.

Charelca

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3 août 2015 1 03 /08 /août /2015 08:47

Pour sa première participation à un concours de pronostics sur le blog, Topalovic remporte la 5ème édition du jeu « Quel quinté pour la Ligue 1 ? ».

Ayant attendu le tout dernier moment pour valider son pronostic, il est un des deux seuls joueurs (avec tontonfranky) à avoir trouvé le quinté (dans le désordre), mais aussi deux des trois relégués.

Il n'a même pas eu besoin de la question subsidiaire, bien qu'il ait trouvé la bonne réponse (27 buts pour le meilleur buteur du championnat).

Et sans avoir vu Marseille un peu trop beau, un peu trop tôt, il aurait même pu décrocher le quinté dans l'ordre ! Chapeau !

Sergio et Bebert complètent le podium, mais cela ne leur offre aucune garantie pour le prochain jeu... En effet, les 3 premiers du classement de la 4ème édition du jeu-concours (floflo, Burkho et Jela ont terminé cette année... aux 3 dernières places ! Ah les pronostics en foot !...

Le classement complet :

RANG JOUEUR POINTS

1 Topalovic 63

2 Sergio (1) 61

3 Bebert 59

4 Bébête 59

5 Fanfan 59

6 BUBU 58

7 Gone24 58

8 GILARDONE 57

9 Tontonfranky 57

10 Stéphan 55

11 OLROB 53

12 Reminho 52

13 Olas 50

14 PATSSO 49

15 TOTO 48

16 Junior 47

17 LATLOV OULY 47

18 Sergio (2) 47

18 Stef de Seb 47

20 Bruns 47

20 Dji Dji 47

22 Charelca 46

23 Cedr du bel air 46

24 Jela 1 42

25 Burkho 40

26 Jela 37

27 Floflo 37

Bravo et merci à tous les pronostiqueurs !

Le blog a été en sommeil durant de longs mois, mais la prochaine saison qui s'annonce sera riche en événements, avec en point d'orgue un Euro domestique, 32 ans après...

J'ai l'impression que le coup de tronche d'Amoros, le débordement de Tigana et le piqué de Bellone c'était hier !

En attendant, la Ligue 1 reprend ses droits dès ce week-end. Alors à très vite pour la 6ème édition du jeu-concours de pronostics...

Charelca

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 20:44

 

J’ai bien fait d’attendre… Nul doute qu’en ouvrant le concours de pronostics dès la fin août, le PSG aurait raflé 90% des suffrages. Aujourd’hui, rien n’est moins sûr…

 

Petit rappel du but et des règles du jeu, avant quelques indications…

 

Au fait, Burkho, si tu pouvais laisser d’autres parieurs gagner le jeu pour une fois, j’apprécierais…

 

But du jeu : trouver le quinté gagnant, les trois équipes reléguées et le meilleur buteur de Ligue 1 pour la saison 2014-2015.

 

Echéance : le dimanche 19 octobre à minuit, juste après la clôture de la dixième journée du championnat. Important : chaque joueur peut modifier en tout ou partie son pronostic jusqu’à cette date !

 

Le Gagnant : il s’agira du joueur ayant marqué le plus de points après application du barème suivant (modifié par rapport à la saison dernière) :

• 10 points par club cité dans le quinté gagnant, figurant à l’une des 5 premières places à l’issue de la saison

• 6 points par club cité parmi les relégués figurant à l’une des trois dernières places

• 5 points pour avoir trouvé le meilleur buteur du championnat

• bonus de 7 points pour avoir trouvé le champion de France

• bonus de 4 points pour avoir trouvé le 2ème du championnat

• bonus de 3 points pour avoir trouvé le 3ème du championnat

• bonus de 2 points pour avoir trouvé le 4ème du championnat

• bonus d’1 point pour avoir trouvé le 5ème du championnat

 

Question subsidiaire (afin de départager les éventuels ex-æquo) :

Quel sera le total de buts marqués par le meilleur buteur du championnat ?

 

Pour s’inscrire : il suffit d’envoyer un commentaire à cet article, en cliquant sur le lien au bas de cet article intitulé « Commenter cet article », en reprenant le canevas suivant :

• Quinté gagnant

- 1er : _X_

- 2ème : _X_

- 3ème : _X_

- 4ème : _X_

- 5ème : _X_

• Clubs relégués

- _X_

- _X_

- _X_

• Meilleur buteur : _X_

• Question subsidiaire : _X_ buts

 

C’est parti, vous pouvez envoyer votre pronostic !

En attendant, comme promis, voici mon ressenti au 1/4 du championnat…

 

Marseille, une histoire de « fou »

 

Avec le même effectif que l’an passé, moins son meilleur joueur (Valbuena), voilà pourtant l’OM lancé sur une grande saison ! Au bout, un improbable 10ème titre pour rejoindre la légende verte. Devancer Paris ? Compliqué, mais pas si loco que ça…

Marseille est déchargé des joutes européennes, possède un Entraineur (la majuscule n’est pas innocente), un Tacticien (tiens, encore une majuscule), un guide Charismatique quoi (vous avez compris, là ?...)

 

En face, Paqataris est saisi d’un phénomène bien connu : ses stars, ou prétendues telles (64 M€ pour Cavani, quelle escroquerie !), sont déjà rassasiées du titre national offert par un championnat de seconde zone, sans relief, et où 80% des rencontres endorment les insomniaques les plus gravement atteints (je sais de quoi je parle).

 

Obnubilés par la quête improbable de la LDC, ils en oublient week-end après week-end la motivation indispensable pour écarter des équipes moyennes, voire médiocres, mais surmotivées. Et je n’évoque même pas David Luis (et son modeste transfert à 50 millions…), repu (encore écœuré de « sa » coupe du monde ?) avant même d’avoir participé à un premier banquet…

 

Un seul club dans l’histoire du championnat de France a su éradiquer ce mal, étalant son règne d’un septennat, mais ce n’est pas le sujet…

 

En fait, Marseille peut rêver d’humilier la capitale si le PSG passe la phase de poules de la LDC. A défaut (tout se jouera lors de PSG-Ajax), les parisiens auront probablement assez de temps et de marge sur leurs adversaires domestiques pour décrocher un troisième titre consécutif.

 

En revanche, si Paris lorgne encore sur le printemps européen en fin d’année, et si Gignac, Payet et les autres métamorphosés de la Commanderie restent les pieds dans la prise, attention, la comète Bielsa va provoquer un séisme au Parc des cheikhs… des chèques… des Princes pardon.

 

SaintéLyon, la course à handicaps

 

Pour compléter le podium, cinq, voire six équipes vont se tirer la bourre : Monaco, Lille, Bordeaux, Lyon, Saint-Etienne, plus une traditionnelle surprise (Toulouse ?).

 

Les monégasques gardent encore ma préférence. Certains joueurs sont pétris de talent (Ferreira Carrasco, Kondogbia, Kurzawa…) mais leur jeunesse et l’influx laissé en LDC vont leur coûter (leur coûtent déjà) cher.

La troisième place semble donc bien ouverte. Lille et Saint-Etienne avaient bien démarré, mais deux semaines à trois matchs pour jouer l’Europa League les ont déjà ramenés à la réalité.

 

Du coup, l’OL, où les infirmiers sont paraît-il en pleine dépression depuis quelques semaines, se met à rêver. Sauvés d’une saison catastrophe grâce aux non transferts de Gonalons et Lacazette (le meilleur mercato d’Aulas depuis 10 ans), voilà les jeunes de Tola Vologe libérés.

Le deuxième club européen le plus prolifique dans la formation de joueurs professionnels évoluant dans les principaux championnats européens (juste derrière la Masia de Barcelone) peut maintenant s’exprimer.

Reste à résister à l’hiver, après avoir résisté aux turbulences d’un début de championnat migraineux (7 points perdus contre Toulouse, Lens et Metz). C’est là que l’expérience d’un grand club prend toute sa dimension. Tout autant que quand son président et son entraineur prennent à leur compte les mauvais choix d’une préparation physique dévastatrice.

 

Tout près de là, les stéphanois possèdent de vraies certitudes et vise désormais plus la troisième place que l’objectif simplet de devancer l’ennemi régional. Son jeu est très bien huilé (quelle première mi-temps contre Bordeaux !) et le groupe est un des plus expérimentés de la Ligue 1.

Finalement, on peut tenir pour l’ASSE le même raisonnement que pour le PSG : plus vite elle sera éliminée des matchs du jeudi soir, plus vite elle deviendra favorite pour la dernière place du podium.

 

Car le sud-ouest va jouer sa chance à fond : Bordeaux et Toulouse ne sont pas des modèles de régularité, mais ils semblent accompagnés d’une certaine réussite, celle qui rapporte les points sur un détail et qui font la petite différence en fin de saison…

 

Reste Lille, l’équipe soporifique par excellence. Lille et ses 9 défenseurs, son gardien-aimant et son Origi seul devant (remplacé parfois par Nolan Roux, parce que c’est bien connu, aligner deux attaquants dans la même équipe, c’est terriblement dangereux).

Lille et son entraineur encore plus canin que ses propres joueurs (lui aboie en permanence). Alors qu’un Dogue, c’est bien connu, Seydoux comme tout… (warf warf warf…)

 

- Charelca -

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25 août 2014 1 25 /08 /août /2014 07:13

 

Il va finir par ouvrir sa propre boutique de paris en ligne. Burkho, encore lui, remporte le jeu-concours du blog portant sur la coupe du monde 2014. Il est l’un des trois pronostiqueurs à avoir fait confiance à l’Allemagne pour devenir le premier pays européen à remporter la coupe du monde en dehors du Vieux Continent, qui plus est sur les terres sacrées du pays des cariocas. N’ayant pas trouvé le finaliste malheureux, il ne devance Scotto et Gilles que grâce à la question subsidiaire, s’étant approché le plus près des 171 buts inscrits durant la totalité de la coupe du monde (158 buts pour Burkho, contre 155 à Scotto et 154 à Gilles).

 

Dommage pour junior, TAMET69, Guitou et Olas qui avaient trouvé les deux finalistes et qui, comme Charelca (et d'autres), pensaient qu’il était temps pour Messi de rejoindre Diego et Pelé au royaume des phénix à crampons. Le coup n’est pas passé si loin, mais les deux ratés d’Higuain et Palacio, aux cauchemars éternels, ont rappelé que l’émotion d’une finale peut submerger même les meilleurs attaquants (l’un et l’autre ont inscrit près de 180 buts chacun durant leur carrière).

 

En face, les allemands, s’ils se sont faits peur face aux Fennecs dans l’incertitude classique des huitièmes de finale, ont confirmé les promesses affichées il y a quatre ans (à relire: http://humeurdefoot.over-blog.com/article-objectif-2012-pour-la-mannschaft-bilan-de-la-xixeme-coupe-du-monde-4-10-54729551.html). Joachim Löw, qui a humilié tactiquement Didier Deschamps au Maracana, a compris que Lahm ne serait jamais aussi bon que dans son couloir et que Schweinsteiger restait toujours et encore le guide et le baromètre de la Mannschaft.

 

Le tsunami de 30 minutes qui a pulvérisé la Seleçao, rasé les espoirs d’une sixième étoile pour toute une nation et rappelé les errances d’une équipe moyenne que le seul talent de Neymar ne pouvait indéfiniment masquer, restera probablement le moment le plus extraordinaire, le plus fou et, au fond, le plus beau, de cette magnifique coupe du monde, apanage du jeu offensif et de la résistance physique d’athlètes ultra-préparés.

 

Du côté de la Maison Bleue, quatre ans après un autre tsunami, on a failli vibrer de plaisir. Mais la peinture était encore trop fraîche. Elle le sera encore, probablement, dans deux ans, pour son Euro domestique, mais au moins semble-t-elle ne plus vouloir ni se fissurer, ni finir hantée. Je maintiens que Pogba sera son guide lors de la prochaine coupe du monde en 2018, vingt ans après Zizou et deux fois vingt ans après Platoche. Deux fois vingt ans… pfff, on vieillit, on vieillit…

 

Charelca

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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 10:25

 

Contre son plus vieil ennemi, l’équipe de France a l’occasion unique, dans un temple, de lancer une véritable frénésie nationale, chassant toutes les rancœurs du passé et les quelques doutes du présent...

 

 

C’est plus fort que nous. Plus fort que tout. A quelques heures du match le plus excitant des Bleus depuis la finale du Mondial 2006, le cœur de tous les français, petits et grands, hommes, femmes et enfants, bat fort.

 

Quand l’école sera finie, il restera une heure et demie pour se préparer, se maquiller, accrocher les drapeaux aux volets, installer les chaises des voisins et la télé dans le jardin et vérifier que les bières sont bien au frais.

 

C’est que, guidés par un druide sans potion mais aux pouvoirs magiques, les Gaulois de Rio peuvent conduire tout un pays au carnaval, 16 ans après celui de sa coupe du monde, lancé après un quart de finale suffocant face aux Romains.

 

On ne demande que ça, alors que tout boîte par ailleurs, jusqu’au plus haut niveau… On veut vibrer, encore plus, et la perspective de retrouver le Brésil en demi-finale changerait totalement, c’est acquis d’avance, la face du week-end à venir et du début de semaine prochaine pour tout un pays.

 

C’est bien ce quart de finale qui va en décider. C’est le juge de paix. Contre cette immense nation de football, l’un des deux grands favoris de la compétition, l’équipe de France a moins de certitudes sur son jeu que son adversaire du jour, c’est un fait. Mais elle paraît portée, transportée même, et rien ne semble pouvoir l’effrayer.

 

Le poids du passé ? 82 ? 86 ? La plupart des Bleus d'aujourd'hui n’étaient encore que des projets dans l’esprit de leurs parents quand Schumacher, Hrubesch et les autres avaient plongé tout un pays dans la désolation au lendemain de la fameuse bataille de Séville. Et si tous les quadras du foot ont encore, et pour toujours, les images de cette tragédie en tête, le match de cet après-midi ne s’inscrit pas dans un esprit de revanche.

 

L’enjeu est ailleurs et il est bien plus noble. Martyrisés, salis et rejetés il y a quatre ans, le maillot bleu et l’institution qui le représente cherchent la rédemption. Nos Bleus sont sur le bon chemin et une élimination ne gommerait pas, bien sûr, les promesses affichées, à deux ans seulement de l’Euro domestique.

 

Mais il est clair qu’un exploit ce soir réinstallerait, dès à présent et pour de bon, nos plus célèbres ambassadeurs dans le cœur de tous les fidèles. Rien ne serait oublié, jamais, mais tout sera pardonné.

 

Sans Ribery, mais avec Evra, les Bleus se dressent face aux allemands avec des chances réelles de gagner la bataille. L’équipe parait assez homogène et la leçon donnée face à la Suisse a apporté de sérieuses indications sur son potentiel.

 

Les petits suisses n’ont rien de Goths, certes, mais si le milieu de terrain français continue son travail de sape, usant son adversaire jusqu’à ce qu’il recule, il peut soulager sa base arrière, certes imperméable depuis le début de la compétition (deux buts seulement encaissés, face à la Suisse, à un moment où cela ne comptait déjà plus) mais qui, soyons lucides, n’a pas encore subi, non plus, de sérieuses attaques.

 

Or Müller, Özil, Götze, voire Schürrle ou Klose, c’est du gros calibre. En face, Sakho et Varane ne peuvent pas encore être parfaitement réglés et Evra, c’est un fait, peut dérailler à tout moment. C’est la réserve majeure qu’on opposera au positivisme ambiant.

 

Pour le reste, la magie de Deschamps, le talent conjugué de Benzema et Pogba et les coups de pied arrêtés de Valbuena sont des armes absolues capables de faire mal à cette Mannschaft-là, moins séduisante qu'il y a quatre ans, la faute peut-être à l'influence déclinante de Schweinsteiger.

 

La bataille sera rude, intense et à n’en pas douter équilibrée. Elle se gagnera donc, aussi, forcément, au courage. Et si dans ce domaine-là, on sait toujours à quoi s’attendre avec les allemands, on attend encore de mesurer celui de ces Gaulois. Mais avec un tel druide, qui sait si ce ne sont pas les Goths qui craignent que le ciel leur tombe sur la tête ?...

 

Charelca

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28 juin 2014 6 28 /06 /juin /2014 17:52

 

Après une phase de poules exceptionnelle, la 20ème Coupe du monde de football peut marquer à jamais l’histoire de son sport, et même du sport en général, dans le pays qui en a fait sa légende.

 

Il faudra pour cela que les équipes encore en course gardent (pour la plupart) leur élan résolument offensif, une certaine insouciance et, surtout, assez de ressources physiques chez leurs représentants pour continuer à ne rien calculer.

 

L’heure des calculs, en tout état de cause, est passée. La suite, on le sait, sera tragique. C’est l’heure des duels d’une soirée (ou d’une après-midi), des éliminations directes, l’heure des K.O., des joies toujours plus extatiques, des issues cruelles et des regrets éternels.

 

La première scène de ce second acte durera 4 jours, 8 matches et c’est très généralement celle qui fait le plus peur aux grands favoris. Car les challengers sont évidemment dans la dynamique vertueuse de leur qualification, encore plein de jus, prêts à tout donner face aux stars d’en face, pendant 90 minutes, voire 120 s’il le faut. Ils entrevoient l’exploit, sans pression encore démesurée (bien loin de celle d’une demi-finale et à des années-lumière d’une finale paralysante), imaginant le retentissement fracassant d’une qualification dans leur pays, les propulsant en héros pour l’éternité.

 

C’est bien pour cela que le Brésil, l’Argentine et l’Allemagne, rejoints, après un premier tour quasi-parfait, par les Pays-Bas, se méfieront des 4 soi-disant petits qui vont les défier, les yeux dans les yeux, ces deuxièmes de groupe qui peuvent transformer leur Mondial en un échec cuisant.

 

L’équipe de France, brillante première du groupe a priori le plus faible, n’échappe pas à la règle. Au regard de sa démonstration face à des suisses (qui n’avaient pas paru aussi petits depuis bien longtemps), elle a fait naître de bien beaux espoirs, déraisonnables parfois, mais ô combien vivifiants, après 4 ans d’une migraine si assommante que tous les amoureux du ballon rond ont frisé la déprime.

 

Même face au champion d'Afrique, elle doit gagner. Pour réussir complètement son Mondial et parce que personne ne veut passer à côté d'un 1/4 de finale de légende le vendredi 4 juillet : France-Allemagne, à Rio, au Maracana.

 

Si l’on ajoute la Belgique, également favorite face aux américains, voilà six 1/8èmes de finales a priori déséquilibrés. Mais a priori seulement. Car il y a fort à parier qu’un, deux, voire trois (vu le resserrement toujours plus fort de niveaux entre les nations) de ces favoris vont passer à la trappe. Lesquels ? Allez, Charelca se lance dans les pronostics… et attend les vôtres, bien sûr…

 

Brésil-Chili : 1-1 après prolongations

 

Le Chili, magnifique contre l’Espagne, a une vraie chance. Le Brésil s’en sortira si les affaires continuent de tourner dans le bon sens, c’est-à-dire le sien, et si Neymar parvient à semer les 3 ou 4 chiens fous qui se relayeront pour mordre ses mollets.

 

Mais si la qualification doit se jouer au-delà du temps réglementaire, gare au drame national. Car Alexis et ses amigos ont tout du petit armé pour terrasser le gros. Ou au moins pour tenir jusqu’aux tirs au but. Et là…

 

Colombie-Uruguay : 2-0

La Colombie pourrait être la grande surprise de cette coupe du monde. Elle joue bien, très bien, emmenée par l’immense talent de James Rodriguez. Les uruguayens ont certes plus d’expérience, mais sans Suarez, ils paraissent désarmés.

France-Nigéria : 3-1

Brasilia, 13h00 : gare au coup de chaud ! Le match sera très compliqué. Mais les Bleus semblent portés par un élan collectif, un état d’esprit conquérant et un druide prophète en son pays : Didier Deschamps.

Et puis, rien que pour retrouver son meilleur ennemi 4 jours plus tard, 32 ans après la demi-finale de Séville et 28 ans après celle du Mexique, la France ne peut pas ne pas s’offrir un ¼ de gala au Maracana.

Allemagne-Algérie : 2-0 après prolongations

C’est le 1/8ème a priori le plus déséquilibré. Car la marge de l’Allemagne sur l’Algérie est énorme et doit lui suffire pour écarter des Fennecs, même les plus rusés.

Mais parce que le foot est unique, il flotte le parfum d’un exploit majuscule, qui s’inscrirait parmi les plus grands de l’histoire de la Coupe du monde.

La rencontre pourrait donc bien se prolonger 30 minutes, même si les allemands, à l’usure, devraient s’en sortir, comme toujours, peut-être grâce au 16ème but historique de Miroslav Klose.

Pays-Bas – Mexique : 0-1

 

C’est probablement le 1/8ème de finale le plus excitant. Les mexicains sont redoutables, leur collectif un des plus huilés. Ils ont le jeu pour contrarier les néerlandais, quand bien même Robben paraît inarrêtable. La première grande surprise, ce pourrait donc bien être pour dimanche…

 

Costa Rica – Grèce : 0-1

 

Compliqué. Ça sent le match en bois, que le Costa Rica va tenter d’emballer mais qui pourrait basculer sur un bon vieux coup de pied arrêté vers la Grèce, miraculée du premier tour.

 

Argentine – Suisse : 2-1

 

Revigorés par le triplé de Shakiri face au Honduras, les helvètes peuvent inquiéter l’Albiceleste. Mais Messi semble enfin décider à inscrire son empreinte en Coupe du monde. Cela sera suffisant pour écarter la Suisse.

 

Belgique – Etats-Unis : 1-0

 

Sans faire de bruit, la Belgique donne raison à ceux qui la voyaient se positionner en vrai outsider dans cette compétition. Elle possède a priori la marge suffisante pour écarter des américains toujours en progrès, mais moins rompus à la répétition des matches de très haut niveau.

 

Charelca

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5 juin 2014 4 05 /06 /juin /2014 23:17

 

Dans moins d’une semaine débutera la 20ème coupe du monde de l’histoire. Est-ce qu’une nation peut empêcher le Brésil, chez lui, d’être sacré pour la 6ème fois ? C’est un des principaux enjeux de l’inévitable jeu de pronostics que je vous propose...

 

Il faut faire vite car vous n’avez que jusqu’au jeudi 12 juin à 22h00 pour envoyer votre pronostic ! Après, il sera trop tard !

 

Règle du jeu :

C’est on ne peut plus simple : le gagnant sera celui qui aura trouvé le vainqueur de l’épreuve.

En cas d’égalité, le gagnant ayant trouvé le finaliste sera déclaré vainqueur.

En cas d’ex-aequo, les pronostiqueurs seront départagés par la question subsidiaire : combien de buts seront marqués durant la totalité de la coupe du monde (tirs aux buts non compris) ? Pour mémoire, en 2010, 145 buts avaient été inscrits…

 

La réponse se fera sous la forme suivante en cliquant sur le lien « commenter cet article » au bas du présent article :

 

Vainqueur : ___

Finaliste : ___

Question subsidiaire : ___ buts

 

C’est tout ! Voilà, bon pronostic et bonne coupe du monde !

 

Charelca

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21 mai 2014 3 21 /05 /mai /2014 22:05

 

floflo remporte la 4ème édition du jeu-concours de pronostics HdF « Quel quinté pour la Ligue 1 ? » ! Le nîmois aux mains magiques s’impose confortablement après avoir notamment trouvé le doublé dans l’ordre et deux clubs relégués sur trois.

 

Mais c’est surtout grâce aux six points rapportés par le grand Zlatan (meilleur buteur) qu’il prive Burkho d’un incroyable triplé ! Le double vainqueur du jeu, seul participant à avoir trouvé les trois clubs relégués en Ligue 2, partage la seconde place avec les excellents Jela et jean marie.

 

Bravo à le mornantais, seul pronostiqueur à avoir trouvé les 5 équipes constituant le quinté gagnant (dans le désordre), ainsi qu’à Olas, unique joueur à avoir trouvé le tiercé, et même le quarté dans l’ordre !

 

Voici le classement complet ! En attendant un jeu-concours pour la coupe du monde bien sûr !...

 

 

1

floflo

70

2

Burkho

64

-

Jela

64

-

jean marie

64

5

OLIROB

63

-

Bébert

63

-

toto

63

8

Dorian breffy

62

9

Prune

62

10

Olas

61

11

Fanfan

59

12

Bubu

58

13

Dji dji

57

14

le mornantais

56

15

stéphan

55

16

cedr du bel air

54

-

Couali

54

18

taton1

51

19

Yaz

50

20

JELA1

49

21

Cand la basketteuse

47

-

Julien R

47

-

Hugo

47

-

junior

47

-

Latlov ouly

47

26

Charelca

46

-

Patsso

46

28

tontonfranky

44

-

gilardone

44

30

Baux

43

-

Gilles

43

32

Sergio

41

33

Unseul7c'estRémi

40

-

Pascal

40

35

Stef de Seb&Stef

39

-

FRED DE POULX

39

 

Charelca

 

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  • Charelca, bientôt quadra, amoureux du foot et de sa dramaturgie unique. Enfant de Séville, fan de Platoche, il n'y a qu'une place pour un club dans mon coeur. En revanche, l'esprit est ouvert pour accueillir avec bonheur tous les passionnés.
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